©Marianne Tessier

Rose-Marie Pasqualaggi : « J’ai adapté le diabète à ma vie ! »

La présidente et cofondatrice de l’association des Diabétiques de Corse a découvert qu’elle était atteinte de diabète de type 1 à l’âge de 36 ans.

Par Eva Mattei
Publié le 25 septembre 2025 à 08:00, modifié le 4 septembre 2025 à 16:46
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« Le premier pas à faire, pour bien gérer cette pathologie, est de l’accepter et d’en devenir acteur, soutient la quinquagénaire au caractère bien trempé, gestionnaire à l’agence d’urbanisme et d’énergie de la Corse. J’ai quant à moi tendance à voir le verre à moitié plein et suis prête à tout pour préserver ma liberté ! Alors j’anticipe et ne me déplace jamais sans vingt-quatre heures de traitement avec moi. Tous les quatre mois, je vois mon endocrinologue, la prescription d’examens appropriés étant fonction de l’âge de la personne mais aussi de celui de son diabète. »

Marcheuse invétérée, Rose-Marie continue de jouer le seul tiercé gagnant : traitement suivi et adapté, alimentation saine et activité physique. Tout en rappelant qu’on ne meurt pas du diabète mais des complications qu’il génère.

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